Après deux jours de (trop) grand soleil, voici une journée brumeuse et plus fraîche (12 degrés en moins qu hier) mais il en faut plus pour nous décourager à skier.
Par contre, aujourd'hui, la pause de midi s'est faite à l'intérieur d'un chalet en bois digne d"Hansel et Gretel.
Alix y a perdu une dent en mangeant un plat de raviolis (c'est dire si la fameuse dent était déjà bien détachée), ce qui a particulièrement dégouté sa voisine allemande assise en face d'elle.
Mardi Gras oblige, Alix a sorti sa panoplie de super héroïne :
et nous avons eu droit à un concert de cors alpins
Ce matin, Alix a participé à la course des enfants. Une vraie petite championne qui progresse bien ! Mais pour s'échauffer, quelques petites descentes en famille.
pendant que la miss s'amusait avec les copains de l'école de ski, papa et maman en ont profité pour skier en amoureux (niveau inégalable de la partie masculine de notre couple, demain c'est sur je ne sais plus marcher 😊). Nous avons même pris le bus pour rejoindre la station voisine du Val Gardena (épique trajet sur des routes verglacees longeant les ravins. Enfin, ça n'a l'air d'impressionner que moi ici). Paysages magnifiques et première chute du séjour, je ramènerai un beau bleu en souvenir.
Ce 14 mars devait être un jour de fête pour des centaines de jeunes qui se sont investis corps et âmes dans 31 musées bruxellois. Des mois de travail, pas mal d'heures supp, beaucoup d'ingéniosité et de créativité mais l'actualité en a décidé autrement.
Même si je suis très triste d'avoir du renoncer à notre Libération Night Fever, je sais aussi que cette annulation est la meilleure décision à prendre.
Petit pincement au cœur ce matin dans ce grand musée vide. J'ai bouclé les dernières urgences, mis mes dossiers en caisses pour delocaliser une partie du service à la maison. Les temps sont étranges...
Certains boivent pour oublier, nous on préfère se tourner vers le solide.
Etincelle, notre poule de guerre (elle a un gabarit de compétition) a enfin daigné accepter de pondre : 5 mois qu'on nourrit un gouffre et pas un seul œuf). Et pas un, deux ou trois œufs hein...
Du coup, nous avons décidé de satisfaire notre gourmandise en cuisinant...
Résultat : un quatre-quart doré qui embaume toute la maison !
Pour ceux qui s'inquiètent de ne plus voir de posts depuis plusieurs jours, voici quelques nouvelles. Merci pour tous les messages, les petites bafouilles et les encouragements que nous avons pu échanger ces derniers jours.
Nous allons bien.
Nicolas s'est porté volontaire au centre de tri installé au stade. En fonction des jours, il ressemble à un poussin (on est dans le thème, Pâques n'est plus si loin) où à un astronaute.
Alix s'occupe comme une grande. Elle lit, bricole, joue dehors, m'aide pour la cuisine, travaille un peu pour l'école (devoirs papier et en ligne) et colonise un peu plus chaque jour la maison (une chambre, une salle de jeux, le bureau de son papa pour jouer de la musique et maintenant la chambre d'amis qu'elle a transformé en salle de bricolage).
Que de saines occupations, sans TV ni tablette (c'est dans des cas extrêmes comme celui que nous vivons qu'on est content de ne pas être hyper connecté).
Pendant ce temps, je réinvente mon métier. Comment faire de la médiation museale et faire vivre notre institution à distance ? Après des débuts techniques difficiles, je commence à maîtriser ce télétravail.
Portez vous bien et prenez bien soin de vous d'ici mon prochain post..
Toujours en forme et bien occupés pour que ces semaines se passent au mieux malgré la situation.
Pendant que papa et maman travaillent, Alix s'occupe toute seule en bricolant, lisant (beaucoup, beaucoup, beaucoup), jouant, cuisinant...
Elle s'est même mise aux taches ménagères
sans négliger son look !
Heureusement que le soleil nous comble de ses bienfaits, ça nous aide à garder le moral ! Du coup, on fait des bricolages naturels, on sort le trampoline et on prépare le potager pour les futures plantations.
bon anniversaire Celia, Grand Mère et Grand Père !
Le confinement se poursuit et nous essayons toujours de faire au mieux... En bonne santé, c'est le principal!
Les journées d'Alix sont rythmées par...
des petits repas en tête à tête entre filles,
de la cuisine (en même temps, on revoit les règles de trois pour les proportions et de la compréhension de texte pour les recettes, toutes les excuses sont bonnes),
Et de la dégustation évidemment !
du jardinage, on utilise les magnifique "carrés potagers" que Super Papa nous a fabriqué. On plante des échalotes...
on repique des tournesols,
on plante même des pommes de terre (en pleine terre dans notre magnifique jardin bêché à la force de mes bras maternels)
Tonde de l'enclos d'Etincelle "à la main" pour éviter de la stresser... Chez nous, on ne panique pas une poule qui pond (enfin)!
Alix ne néglige pas son look pour faire le tour du village!
Création d'un bracelet en perles tissées. Ca c'est du boulot mais le résultat est magnifique!
On dessine...
On n'oublie pas qu'on a été élevée à l'Ecole du Dehors. Du coup, on part à la découverte des arbres du quartier avec un tableau pour les identifier.
On redécouvre des jeux simples et oubliés
Et évidemment, on ne se laisse pas mourir de faim
ni de soif...
surtout quand le jus porte le nom de notre célèbre chien!
Voici le making off de la vidéo postée la semaine dernière (défi sportif des lutins)
Evidemment, on lit beaucoup beaucoup beaucoup (plus de 70 livres y sont passés depuis le début du confinement). En semaine, Alix doit s'occuper toute seule de 9H à 17h ... au moins....
Après l'effort, le réconfort (je n'ai jamais fait autant de gateaux!)...
Alix est la top cheffe de la soupe journalière ! Elle nous la prépare seule pendant que je travaille.
Les semaines se suivent, se ressemblent beaucoup, entre (télé)travail et déception de ne pas retourner à l'école, à l'escalade, au conservatoire et surtout aux lutins!
On essaie donc de faire le maximum pour que le confinement se passe au mieux...
On va rendre visite aux copines...
On se modernise en installant (enfin) un peu de technologie dans la chambre d'Alix (une chaine hi-fi qui fait des étoiles, rien que ca! De quoi en faire pâlir Angèle !)
On fait du sport. Alix a décidé de s'entrainer pour un triathlon confiné : au programme, modifié par les circonstances, du vélo (plutôt du VTT avec les bosses et les fosses du jardin),
Un peu de course...
et beaucoup de sauts dans le trampoline :
On n'oublie pas de participer au challenge de dessin organisé par le Musée de l'Armée :
On se protège (pour ceux qui les ont râtés, rendez-vous dans le post précédent pour les conseils maladroits d'Alix). Merci Graziella pour ces beaux masques !
Et bien sur, comme 99,9% des confinés, on cuisine...
Le 8 mai 1945 à 23h01,c’est la délivrance :après cinq années de guerre, l'Allemagne nazie se rend, ce qui signifie la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Cette capitulation marque la fin d'un régime en totale contradiction avec la démocratie et les droits de l'homme.
Ce 8 mai 2020 aurait du être une journée de commémoration à grande échelle. J'aurais du être à Auschwitz avec 1000 jeunes à nous souvenir de ce qu'i s'est passé il y a 75 ans.... Mais voilà, notre quotidien a basculé vers d'autres préoccupations.
Le War Heritage Institute a donc lancé une campagne de comméoration en mode confinement.
Les semaines se suivent... Mais on fait tout pour qu'elles ne se ressemblent pas.
Le semaine dernière, Alix nous a préparé un escape game mais nous avons failli mettre le feu à la maison en essayant de déchiffrer un message écrit à l'encre sympathique (jus de citron)
Nous avons encore profité des chemins champêtres pour éviter la phlébite du télétravailleur...
Le héron a retrouvé le chemin de notre plan d'eau, mais dommage pour lui, rien à se mettre dans le bec dans l'étang....
Le confinement a quand même du bon, 24h/24 en mode mère-fille :
Notre première visite (grâce à Sophie) : Nanou est venue prendre l'apéro/dessert pour la fête des mères.
Cours de violoncelle en vidéo-conférence, merci Monsieur Simon, vous êtes vraiment un prof du tonnère!
Alix s'est lancée dans l'édition. Le "Confiné" distrait ses lecteurs. Pas d'infos barbantes, que de la détente, juste ce qu'il faut en cette période...
La première édition contient une (petite) coquille d'imprimerie...le U a disparu !
Atelier "fabrication de bougies", la cuisine était remplie de cire mais le résultat est sympa....
Et surtout, Alix s'est mise à la couture. Une vrai styliste pour ses Barbies
À partir de ce mercredi 20 mai 2020, trois des sites du War Heritage Institute seront à nouveau accessibles au public : le Musée royal de l’Armée (Bruxelles), le Mémorial national du Fort de Breendonk (Willebroek) et le Boyau de la Mort (Dixmude).
Ces sites seront ouverts du mercredi au dimanche, de 10 h à 16 h.
► Réservation obligatoire, par courriel ou téléphone :
La tribu a profité du long week-end de l'Ascension pour faire l'entretien de Greta, ma fidèle petite allemande, avant de la mettre en vente. L'occasion pour Alix de passer derrière le volant...
Nettoyage et réaménagément de nos petites maisons, le top du top à l'heure du repas ou pour l'apero, on se croirait au bout du monde ! On va peut être penser à les louer pour l'été 🤔😜
Quand le soleil est là, tout va...
Petit bœuf père-fille...
Et grâce à Sophie, Nanou peut même venir s'aérer à la campagne (trois générations en distanciation 😉
Quand on a bien travaillé, on peut se reposer...
Quoique... Ce livre est pour le musée...
On continue à s'entraîner pour le Tour..
Mais quand la crevaison survient, il faut vite revenir à la maison !
Évidemment, on cuisine toujours. Alix est la reine de la pâtisserie, son papa l'as de la boulangerie et...
Chef maman prépare les aperos du deconfinement : gin au sureau (verdict dans 6jours) et sa version sans alcool, le sirop de fleurs de sureau
Tout comme faire la course avec Super Papa et sa nouvelle trottinette de compet
Et après l'effort, un peu de repos et de bon air marin... En route pour aller rechercher Nanou à Coxyde !
Et pour fêter le retour progressif à la vie normal, Nanou a testé le gin sans alcool (très bof, n'essayez pas!)
On se promène, on trottine, on mange une glace, on se fait plaisir...
Selon le serveur, la Carlsberg O% d'alcool a le même goût que la normale... Nanou ne vous dira pas le contraire, elle n'a jamais goûté la normale mais il parait que ce n'est pas mauvais ;-)
On se retrouve mais on garde quand même encore ses distance et son masque (là, pour faire une partie de réussite, ce n'était peut-être nécessaire, je vous l'accorde).
Du soleil dans le ciel et dans les verres!
Aaaaaah, ca fait du bien tout ca!
Continuez à prendre soin de vous et des autres, le soleil est de retour au bout du tunnel !
Derniers jours d'école dans la bonne humeur et avec le soleil!
avant la détente et les plaisirs aquatiques avec sa cousine !
Préparatifs pour le camp lutins. Notre petite aventurière est fin prête!
Toute belle sans appareil. Nous voilà tranquille pour 2 ans !
Un peu d'aide pour enlever les mauvaises herbes, on ne dit pas non!
Qui dit fin d'année scolaire, dit bulletin... Même si celui-ci est un peu spécial avec ces semaines sans école, nous sommes très très fière de notre grande Alix, en route pour la sixième!
Les arbres sont enfin assez grands pour y construire des cabanes. Petit entrainement pour le camp qui approche.
On récolte le travail du confinement : mmmh les bonnes salades du jardin !
Avec le confinement, tout le monde s'est remis à écrire et on a retrouvé les joies du courrier. Merci Grand-Mère, Grand-Père et Nanou pour ces belles cartes!
Parcours plus facile et moins long au programme de cette troisième journée.
Nous avons quitté le refuge à 9:30. Plus de paysage lunaire de haute montagne comme la veille mais des pâtures et alpages à perte de vue et le tintillement des cloches de vaches.
mais évidemment quand on descend dans la vallée, il faut remonter sur la crête pour rejoindre l'autre côté. Encore pas mal de grimpette mais sur des chemins plus aisés (7h de randonnée rouge classée moyennement difficile avec pique nique au milieu des vaches ).
Une journée de repos bien méritée dans le petit village alpin de Eng Alm. Nous avons marché les deux derniers kilomètres sous la pluie pour y arriver hier et depuis, elle n'a pas cessé, dommage...mais elle ne nous a pas empêché de marcher quelques kilomètres dans les environs et de profiter de la sympathique pleine de jeux en bois.
après l'effort, le réconfort !
Demain, vendredi, une longue marche et de encore beaucoup de grimpette au programme pour rejoindre une gare où nous pourrons prendre un train pour rentrer à Innsbruck en soirée. Pas de route ni de transports en commun pour rejoindre la capitale du Tyrol d'ici.
Dernier jour de randonnée avec la pluie, du coup j'ai tellement bien emballé mon GSM pour le protéger que je n'ai pas pu prendre de photos de la journée.
Nous sommes partis vers 9:00 de Eng Alm pour rejoindre le sommet et son refuge, la Lamsenjochhütte à 1950m. Là un petit arrêt pour se réchauffer et reprendre un peu de force s'est imposé car la montée de 6km est ardue et nous n'avons pas été aidé par la pluie.
Au sec, j'ai pu prendre une photo d'Alix en flagrant délit de gourmandise :
nous sommes ensuite descendus sur l'autre versant pour rejoindre Vomp puis Schwaz et sa gare, toujours sous la pluie pour ces treize derniers kilomètres mais au moins en descente.
Nous avons ensuite repris le train pour Innsbruck.
Nous voilà revenus au point de départ !
Bilan :
- 70 km parcourus
- dénivelés : ++++ (par exemple, 1450m le deuxième jour)
- bénéfices : des gambettes de rêve et la révélation de muscles inconnus jusque là. Une super expérience de cohésion familiale.
- dégâts : une paire de lunettes éclatée, l'arrière train d'un legging, un short et un corsaire defoncés, du linge puant, un nombre incalculable de griffes et hématomes.
DOnc on commence par la première journée tranquille à Innsbruck, chouette petite ville traversée par l'Inn (d'où le nom)
Ensuite on monte au Bergisel pour voir une fresque de 10000m2, affichée à 360°, représentant la bataille du 13 août 1809 contre les forces de Napoléon, les Tyroliens menés par leur Pancho Villa local, l'aubergiste Andreas Hofer.
Un petit tour au tremplin du Bergisel, encore plus impressionnant que celui de Garmisch-Partenkirchen et il est déjà temps de traverser la vallée pour visiter le zoo alpin.
Des Lynx, des loups, des grands et petits tétras, des aigles en tout genre et des hiboux.
A oui, il y a aussi des bartavelles. Element central de "la gloire de mon père" de Pagnol que j'avais du lire il ya très très longtemps, où il racontait sa jeunesse et surtout la gloire de son père Joseph, qui avait abattu en plein vol un duo de Bartavelles lors d'une partie de chasse alors qu'il n'avait jamais chassé (le coup du roi). Ca semblait exceptionnel, donc dans mon imaginaire, une Bartavelle, c'était je ne sais, au moins aussi gros qu'un dindon, ça avait l'air tellement incoryable.
Et bien non, c'est juste une perdrix. Déçu je suis.
Comme Sandrine vous l'a dit, on a décidé de partir marcher 5 jours, même pas peur, haut de notre très grande expérience en moyenne et haute montagne, j'avais prévu un itinéraire qui semblait raisonnable.
On commence par tricher légèrement, prenant la Nordkette pour rejoindre l'Hafelekar, à 2300m d'altitude.
ENsuite, on s'engage sur le Goetheweg, sentier de randonnée vertigineux qui nous menera jusqu'à la Pfeishütte.
Ca monte et ça descend, mais ça reste assez facile, et globalement, on perd en altitude.
En descendant en moyenne montagne, on ne croise plus de chamois mais des moutons.
Bon, c'est sur, si vous avez le vertige, ce n'est peut-être pas l'idéal, mais dans les endroits dangereux, il y a un cable pour vous aider à ne pas tomber.
En général, si il y a un cable, il y a vraiment une raison d'ailleurs.
Ce sentier serpente entre les sommets, donc pas de grosses montées pour ce premier jour.
D'ailleurs, d'une façon générale, les descentes seront plus difficiles que les montées, les gravilons glissent, et la chute est facile.
Et plus on avance, au plus il y en a des gravillons.
Les cours d'escalade d'Alix viennent souvent à la rescousse, ce n'est pas de tout repos.
Une petite pause à la Pfeishütte et on repart, pour rejoindre l'Hallerhangerhaus.
Toujours en forme, pour l'instant en tout cas!
Pas que de la descente, on remonte cette après midi.
Et chose imprévue, la neige n'a pas encore tout à fait fondu.
Du coup, ça glisse, heureusement, on avait une corde (kit de survie offert à Alix pour rire avant de partir, ben au final, la paracord, elle aura beaucoup servi! A prévoir.
Le Plus dur est passé, on est balaise.
Encore un peu d'alpinisme (oui, oui, c'est un sentier facile, idéal pour commencer, on a dit)
Même pas mort.
Une dernière descente et on arrive à l'Hallerhangerhaus, avec un poil de retard (19h15)
Après avoir gravi les sommets et utilisé une bonne part de notre énergie, une journé plus calme pour rejoindre le charmant village de Engalm.
De la Karwendelhaus, on nous dit c'est facile, ça descend, puis ça monte, puis ça descend.
Vu où on est, c'est clair, on ne peut que commencer par descendre.
Le chemin est large et facile, des vaches curieuses font quelques centaines de mètres avec nous (non, pas d'oreo pour vous, on en a plus!).
Ca recommence à monter, "je suis fatiguée, merci papa-sherpa de porter mon sac!", ça va tout de suite mieux.
Casse croute en profitant de la vue.
Et on redescend vers Elgalm, accueilli par la pluie, il n'y a pas de raison.
Le village se cache au milieu du Karwendel, à 1270m d'altitude
Ce village autrichien n'est accessible en voiture que depuis l'Allemagne, 7h de marche sont nécessaires pour rejoindre les villages les plus proches. Ca doit être super pratique pour toutes démarches officielles ou pour passer le contrôle technique (presque 2h de voiture pour aller à Innsbruck qui doit être à une 20 de km à vol d'oiseau!).
Bon, à part des vaches pour faire du fromage (médaillé d'or, c'est vrai qu'il est bon), pas grand chose, si ce n'est de jolie promenade.
Et un hotel confortable pour se remettre.
Ce vendredi pas le choix, il faut rejoindre Innsbruck, donc traverser la montagne vers Shwaz et puis prendre le train. Bien entendu, il pleut.
Et pas qu'un peu, mais ça ne démotive pas (trop) la petite troupe, et on avance.
Un petit coup de fatigue, suffit de promettre un chocolat chaud avec plein de crème fraiche à la hutte suivante, et ça repart.
Bon, tout le monde n'a pas le même intérêt pour le chocolat chaud.
Mais le jus de sureau/bio, ça marche aussi.
De la Lamsenjochehütte, ça descend rapidement vers Shwaz.
Les derniers kilomètres se feront dans un sous bois.
Ca glisse, mais on y est presque.
Et voilà!
Maintenant, direction Avelengo, près de Meran. On reste dans le Tyrol, mais on sera en Italie cette fois (et on risque de moins marcher aussi, c'est qu'il faut reprendre le poids perdu...)
Impossible de rester un jour de plus avec cette odeur de vêtements puant et dégoûtant, on dirait que nos sacs de randonnée ont passé l'été dans une étable. Nous avons donc passé la matinée au lavoir de Merano avec une balade entre deux machines.
sur le chemin du retour, arrêt à Avelengo, le berceau de la race de cheval du même nom. On a pris des infos pour offrir une petite balade à Alix dans la semaine. Elle l'a bien mérité !
arrêt également à la charmante chapelle de Sainte Catherine.
pour notre fidèle lecteur Jean : bon anniversaire et bisous à la famille !
Nous avons rechaussé nos bottines pour une nouvelle randonnée. Bien plus facile qu'en Autriche mais avec un grand soleil et de jolis panoramas.
Télécabine "masqué" à Falzeben (à trente mètres de l'hôtel) pour rejoindre la station de Meran 2000.
En été, le roller coaster remplace la luge.
et les chevaux Avelengo locaux déambulent librement dans l'alpage. Un spectacle magnifique (il faut juste bien se mettre sur le côté quand ils dévalent les sentiers de randonnée).