Premier jour.
De mon siège inconfortable, je
prends quelques minutes pour vous laisser mes premières
impressions sur ce voyage.
Après une dernière
journée de boulot relativement chargée (hum...), la
fermeture des nos derniers sacs et l'oubli de diverses choses (j'y
reviendrai), nous nous sommes enfin couché.
Surtout Sandrine en fait, car se
plaignant à 00h17 de ne pas avoir de playlist digne de ce nom
sur son lecteur mp3, il a bien fallu que quelqu'un se dévoue
pour copier quelques titres (3 petits Go). Evidemment, ça a
pris quelques temps. Et bien sur, le programme pour transférer
les fichiers n'était pas installé...
Courte nuit donc, Jean pol passant nous
chercher vers 5h10 pour nous conduire à la gare TGV de Douai.
Tellement courte que Sandrine a oublié
de prendre son lecteur mp3... :-o
Bah, tant pis, elle prendra mon ipod.
Siège incomfortable donc, que
ceux de l'aéroport Charles de Gaule.
Lors d'une de mes séances de
surf, j'étais tombé sur un site passionant, sleeping
airport . org ou un truc du genre, où toute une communauté
se chargeait de classer les aéroports du monde entier selon
leur qualité d'accueil et la possibilité d'y dormir
avec plus ou moins de confort.
L'aéroport CDG était
qualfié de “worst ever”. Sale, pas confortable, des hauts
parleurs qui gueulent les annonces...
Je comprends pourquoi. Pas que je sois
difficile mais il commence vraiment à dater, on est tout
serré, le carrelage est en morceau, le duty free est hors de
prix (m'enfin ça, à part l'absolut vodka à prix
moins cher que pas cher à Abu Dhabi, c'est plutôt
habituel) et il n'y a même pas de wifi gratuit. Mais le
personnel est sympa, il faut le reconnaitre.
Mais je m'attendais à autre
chose en fait.
M'enfin j'ai l'air de raler comme ça
mais non, ça se passe plutôt bien, et même pas
fatigué.
Par contre j'ai faim, avec un peu de
chance on aura deux repas dans l'avion, et une glace.
Une haegendas, comme la dernière
fois... Et un bailey (note pour tout le monde: ils ont toujours du
bailey dans leur chariot, juste qu'ils “oublient” de dire que
l'on peut en demander et ne nous proposent que de l'eau. Faut
demander)
Aller, on va embarquer.